Histoires chez le médecin
Lors d'une consultation :
- je vais vous prescrire un fortifiant. De votre coté, soignez votre moral, soyez de bonne humeur, chantez en travaillant.
- Ça va être difficile, docteur.
- Pourquoi donc ?
- Je suis employé aux pompes funèbres !
Une femme va voir un psychiatre :
-Docteur ! que faire ? Mon époux se prend pour un chien !
- Quand cela lui arrive, vous n'avez qu'à l'allonger sur le canapé !
- C'est hors de question ! Il n'a pas le droit d'aller sur le canapé !
La femme d'un riche commerçant vient d'avoir un accident. Le médecin des urgences explique à son mari :
- On va lui faire la respiration artificielle
- Il n'en est pas question. Faites lui la vraie, j'ai les moyens !
A la faculté de médecine, le professeur interroge un étudiant en première année :
- Citez-moi cinq raisons de la supériorité du lait maternel sur le lait de vache pour un nourrisson...
- La première, il n'y a pas d'intermédiaires... La seconde, il est inaccessible pour le chat... La troisième, il est facile à administrer... La quatrième, il est propre. Enfin il se présente sous un emballage attrayant !
Un patient déclare à son médecin au moment de régler la consultation :
- Vous m'accorderez bien une petite ristourne, docteur, c'est tout de même moi qui est refilé la grippe à tout le quartier !
- Un homme se rend chez son médecin :
- Docteur, ça ne va pas du tout. Lorsque j'appuie sur mon coeur, ça me fait mal. Quand je tâte mon foie, la douleur est intense, et quand je touche mon ventre, ça me fait très mal aussi. Vous avez une idée de ce que j'ai ?
- Oui monsieur, le doigt cassé !
- Un cul-de jatte est allongé sur un lit d'hôpital. Il vient d'être renversé par une voiture. Une infirmière lui remonte l'oreiller en disant :
- Ce n'est rien... Dans trois jours vous serez sur pied !
- La femme à son mari :
- Alors ??... Que t'a conseillé le médecin, lorsque tu lui as expliqué qu'il t'arrivait de perdre la mémoire ?
- il m'a de mandé de payer d'avance !
- Un malade se confie à son médecin :
- Docteur, je suis très inquiet...votre diagnostic n'est pas le même que celui de votre confrère.
- Je sais. Avec lui, c'est toujours comme ça, mais l'autopsie prouvera, une fois de plus, que j'ai raison...